Pourquoi cela peut freiner le deuil ?

- Chaque vêtement aperçu dans l’armoire ravive une absence, plutôt qu’un souvenir serein.
- On peut ressentir de la culpabilité à l’idée de trier ou de donner, comme si cela revenait à “oublier”.
- On repousse le moment de faire le tri, pensant que cela viendra plus tard… mais cela nous fige dans le passé.
L’objectif n’est pas d’oublier, mais de ne pas rester bloqué dans un quotidien qui n’est plus. Les souvenirs ne vivent pas dans une boîte à chaussures : ils vivent en nous.
Un attachement qui devient parfois un fardeau
À force de tout garder, on finit parfois par ne plus vivre dans le présent. On s’oblige à “protéger” ces objets, on culpabilise à l’idée de les déplacer ou de les transformer. Résultat ? On avance moins. On vit moins. Peu à peu, le poids du chagrin prend le pas sur la douceur des souvenirs.
Ce que cela peut engendrer :
- Une maison figée, comme un sanctuaire silencieux.
- Des émotions qui ressurgissent sans répit, sans réconfort.
- Une difficulté à accueillir du nouveau dans sa vie : objets, projets, moments de joie.
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